EDUCATION POSITIVE
Le grand débat ! / La controverse

Débat : L’éducation positive, mot creux, ou vraie révolution ?
Depuis une dizaine d’années, l’expression «éducation positive», souvent reliée à la bienveillance, connaît un franc succès. Que recouvre-t-elle exactement ?
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Elisabeth Roudinesco : « En voulant fabriquer des enfants parfaits, on risque de fabriquer de la folie »
TRIBUNE. L’historienne estime, dans une tribune au « Monde », que la bataille entre Isabelle Filliozat, apôtre de la bienveillance, et Caroline Goldman, adepte de la fermeté, témoigne d’une incapacité à comprendre qu’on élève moins sa progéniture avec des protocoles prétendument « scientifiques » qu’avec sa propre histoire.
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Isabelle Filliozat, le bon filon de l’éducation positive
La psychothérapeute, qui a vulgarisé et diffusé les principes de la parentalité positive en France, se retrouve sous le feu des critiques. Elle est accusée de vendre des formations à des parents désemparés ou encore de favoriser l’émergence d’une génération d’enfants avec des troubles du comportement… Malgré des incohérences scientifiques, la sexagénaire continue de défendre sa méthode et assène ses arguments contre la psychanalyse.
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Éduquer sans sanctionner ? Les malentendus de l’éducation positive
En ce printemps 2023, psychologues et familles se divisent de nouveau, ravivant le débat autour d’une éducation sans contrainte et sans sanction, ou « positive ».
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Éduquer sans sanctionner ? Les malentendus de l’éducation positive
Bannir la violence de l’éducation ne signifie pas condamner le principe même de l’autorité. L’histoire a d’ailleurs montré qu’une éducation sans sanction pouvait conduire à l’impasse.
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Déjouer les pièges de l’éducation positive avec la philosophie de Hegel
L’éducation positive est une belle idée mais elle expose à des pièges qui, si l’on n’y prend garde, risquent d’interdire tout vrai travail éducatif. Relire Hegel peut nous aider à les déjouer.
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Education : fini (définitivement) le coin, préférez le Time-in !
Il est encore parfois tentant d'envoyer un enfant qui s'est « mal » comporté au coin, que l'on soit parent ou professionnel. Si ce Time-out, comme l'appelle les anglo-saxons est désormais décrié et délaissé, le Time-in, l'alternative issue de la parentalité positive, serait une piste intéressante et simple à déployer, comme en concluent les résultats d'une étude américaine
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